Double face
Avec vos sourires, vos écrits sans aucune valeur, vous vous croyez enjôleurs.
Vous pensez vaincre la vigilance des gens, vous êtes des blagueurs.
Peut-être, supposez-vous vaincre la douleur. Elle vous guette avec torpeur !
Je n’en suis pas si sûr, vous êtes frêle et vous avez toujours aussi peur.
Vous n’avez pas vraiment su me convaincre de vos véritables stupeurs.
Ai-je raison ? Sans aucun doute ! Certes pour vous ce n’est pas flatteur.
Vous avez beau essayer de faire virevolter, miroiter, vos mots ensorceleurs.
Vous arriverez sans doute à tromper, les insomniaques, les fragiles et les dormeurs.
À force de vous promener dans les eaux troubles, par une certaine profondeur,
Il se pourrait que vous vous trompiez de hauteur, car vous n’êtes pas de bons nageurs.
A ce moment-là, vous pourrez vous époumoner, vous réaliserez la réelle hauteur.
Personne ne pourra entendre vos cris : seulement vous dans votre propre malheur !
Ce qui me fait dire cela à sa juste valeur, je n’ai qu’une seule face avec ma vraie douleur !
Je suis un homme parmi tant d’autre ! Chez moi pas de fraudeurs, ni de Rancœur !
Je me bats sans cesse contre des gens comme vous, tels des scribouillards arnaqueurs.
Vous en arrivez à me blaser de l’écriture, vous n’êtes que des enrôleurs recruteurs !
Vous n’arrêtez jamais de geindre ! Tout va bien, hélas, pour vous C’est un malheur !
Vous vivez bien calfeutrés au chaud, alors que d’autres souffrent de vraies douleurs.
Il ne vous demande rien, laissez-leur faire leurs routes, reviendront-ils avec frayeurs ?
Rien ne compte pour vous ! Continuez à vous lamenter, comme des saules pleureurs.
Vous n’êtes pour moi que des compositeurs malsains !
Sans nul doute de très bons « Tricheurs »
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